Les leggings, dans lesquels elle enfonçait à peine ses fesses, étaient facilement retirés de ses magnifiques et grosses cuisses. Elle se tenait devant moi en levrette, désireuse de se trahir, sur la banquette arrière de la voiture, dans un parc peu peuplé. J'ai baissé ses leggings et j'ai commencé à lui donner des pattes avides et à frotter ma paume entre ses jambes pour qu'elle coule le plus possible. Le lubrifiant s'infiltrait abondamment à travers sa culotte. Je touche son corps, il est tout doux et ça m’excite au point d’en trembler. Ses kilos en trop ne le sont pas du tout.
J'ai baissé son short, dans lequel je pouvais me noyer, et je l'ai enlevé de ses jambes. Elle se tenait devant moi, gênée et surexcitée, légèrement tremblante. J'ai attrapé son cul et j'y ai enfoncé mon visage, enfonçant ma langue dans son vagin. Je l'ai prise par les épaules et j'ai commencé à la faire entrer. En réponse, j'ai entendu un fort reniflement et j'ai pu voir comment ses paumes, pressées contre la porte, se serraient.
J'ai inséré le mien en elle quelques dizaines de centimètres jusqu'à une profondeur creuse et elle a haleté. Maintenant, elle posa sa tête sur l'oreiller et commença à écarter son gros cul avec ses mains. Ses gestes étaient incroyablement excitants. J'ai bougé de plus en plus vite, ne lui permettant pas de bouger, j'ai tout fait moi-même. Les lourdes claques de ses fesses se faisaient entendre dans toute la place.
Puis je l'ai retournée sur le dos et, mettant ses jambes sur mes épaules, j'ai commencé à m'approcher de la fin en accélérant le pas. J'ai voulu l'amener à un multi-orgasme et j'ai réussi, au bout d'un peu de temps elle s'est cambrée par réflexe, et moi, malgré la douleur de la très forte compression de ma partie en elle, j'ai continué et continué sans m'arrêter, mais en bougeant encore plus vigoureusement et durement.
La vague à travers son corps m'a immédiatement donné envie de jouir, mais je l'ai endurée pendant que je sentais ses orgasmes. Lorsque son corps a commencé à s'étendre sur le siège, je me suis retiré et suis venu puissamment sur son chemisier, qu'elle était trop gênée pour l'enlever. Elle restait très contente et confuse et me regardait avec les yeux d'une lionne qui avait reçu sa proie. Je me suis allongé sur elle et j'ai fermé les yeux.
Quand j'ai ouvert les yeux, il s'est avéré qu'elle s'était également endormie et nous avons dormi pendant deux heures, nus, couverts de sperme et allongés l'un sur l'autre. Je l'ai essuyée du mieux que j'ai pu avec des serviettes, mais le sperme avait déjà séché sur son chemisier. Nous nous sommes habillés en souriant et je l'ai invitée à venir passer la nuit avec moi, comme nous restions habituellement avec moi après de telles soirées.
Que quelqu’un nous regarde ou non, cela n’avait pas d’importance ; nous ne cachions pas notre amour et son apparence ne me gênait pas, mais au contraire était un défi pour mon entourage.